Mais dans les pauses où les besoins sont apaisés et, pour ainsi dire, endormis, l'ennui NIETZSCHE, Humain, trop humain, I §611 Voici l'introduction que vous pourrez trouverez en tête de l'étude proposée. Mais dans les pauses où les besoins sont apaisés et, pour ainsi dire, endormis, l'ennui vient nous surprendre. Le besoin nous contraint au travail dont le produit apaise le besoin : le réveil toujours nouveau des besoins nous habitue au travail. Pour Nietzsche, le travail est donc source de déshumanisation de l'homme puisque l'homme ne réfléchit plus, ne pense plus lorsqu'il travaille; il n'est donc plus homme. Si le travail naît du besoin, pourquoi l'homme travaille-t-il au-delà de ses besoins? C’est une sorte de mesure « polic(ière) » préventive et efficace. La répétition du besoin peut avoir un effet paradoxal selon Nietzsche dans Humain, trop humain (I, 61): « le besoin nous contraint au travail dont le produit apaise le besoin : le réveil toujours nouveau des besoins nous habitue au travail. Mais dans les pauses où les besoins sont apaisés et, pour ainsi dire, endormis, l'ennui vient nous surprendre. Nietzsche: Le besoin nous contraint au travail dont le produit apaise le besoin. Le besoin nous contraint au travail dont le produit apaise le besoin : le réveil toujours nouveau des besoins nous habitue au travail. Mais dans les pauses où les besoins sont apaisés et, pour ainsi dire, endormis, l'ennui vient nous surprendre. Mais dans les pauses où les besoins sont apaisés et, pour ainsi dire, endormis, l'ennui vient nous surprendre. il est pa tellemen compliké mais je c pa koi en dire. » Nietzsche nous démontre dans ce texte que le bonheur de l'Humain ne dépends pas seulement du bien-être de sonorganisme et donc du travail qui se doit d'être fourni pour. Il r Mais dans les pauses où les besoins sont apaisés et, pour ainsi dire, endormis, l'ennui vient nous surprendre. TD n°13 – T.L. 1. / p. 2/4 PARTIE B°) « Le besoin (1) nous contraint au travail dont le produit apaise le besoin : le réveil toujours nouveau (2) des besoins nous habitue au travail. Au début de l'explication, nous nous demandions en quoi l'individu était-il un danger et comment le fait de travailler le rendait plus docile. L'Homme évoluant dans le temps se crée différentes cultures et ainsi se crée différents actions et états dontil a besoin pour parvenir au bonheur. Présentation générale du texte a. L’auteur : Friedrich Nietzsche (1844-1900) Nietzsche, philosophe allemand, composa une œuvre refusant tout système et préférant la forme des aphorismes (Par-delà bien et mal, Le Crépuscule des idoles) et même de la poésie (Ainsi parlait Zarathoustra). Extrait à commenter de Humain trop humain (de F. Nietzsche) : Le besoin nous contraint au travail dont le produit apaise le besoin : le réveil toujours nouveau des besoins nous habitue au travail. Le conditionnement au travail, la négation de l’individu au nom du groupe, du profit ( encore plus forte dans le cadre de l’aliénation du travail décrite par Marx : ouvrier interchangeable car sans qualification) prépare à l’uniformisation sociale. « Le besoin nous contraint au travail dont le produit apaise le besoin : le réveil toujours nouveau des besoins nous habitue au travail. – le travail n’est plus un simple moyen, il devient une fin. Qu'est-ce à dire? merci de m'aider svp "Le besoin nous contraint au travail dont le produit apaise le besoin : le réveil toujours nouveau des besoins nous habitue au travail. C'est, dit Nietzsche, dans l’aphorisme 611 de Humain trop humain, parce que le travail lui-même devient un besoin, et qu’en son absence surgit l'ennui. ce sujet est pour demain et j' ai pa u le tps de m'en occuper avant et là je sais vraiment pas comment faire. Le besoin nous contraint au travail dont le produit apaise le besoin : le réveil toujours nouveau des besoins nous habitue au travail.